Exhibitions

Summer group show by Sarah Jérôme

Galerie Sabine Vazieux

5 bis rue du Louvre, Paris

Du 3 au 24 juillet 2021

Exposition collective avec : Gaël Davrinche, Fadia Haddad, Sarah Jérôme, Myung-Joo Kim, Youjin Yi

Incarnation(s) - Au cube gallery - La Chaufferie de l’Antiquaille - Lyon by Sarah Jérôme

Le couple, ce corps à deux têtes que tout rassemble et oppose à la fois. Travailler à deux dans un même espace induit des accointances, des correspondances, des translations de formes, de matières de couleurs qui, à force de frottements et de zones de contact, finissent par résonner et dialoguer ensemble.

Sarah Jérôme et Gaël Davrinche fabriquent leurs œuvres dans le même atelier. Si leurs sujets diffèrent, ils ont ce point commun de s’impliquer physiquement dans leur travail. À travers la matière et le geste, ils incarnent la peinture et la sculpture.

Incarnation(s) est une exposition qui présente des images qui ne sont pas faites pour décorer, simuler ou consoler, mais pour agir, nous bouleverser et nous donner accès à notre propre profondeur. Il s’agit ici de questionner la fragilité de nos êtres à la fois physiques et psychiques, le pourquoi de nos protections corporelles ou mentales.

Incarner c’est poser un regard réflexif sur un extérieur, un principe d’appropriation du quotidien dans sa forme transitoire pour en vivre les significations, permettre le déploiement de nos idées, en des champs de pensées.

 Nous nous construisons une identité qui nous individualise autant qu’elle nous positionne dans une appartenance sociale, dans un rôle. De l’armure aux choix vestimentaires, notre carapace nous détermine et nous identifie.  Elle protège notre chair, ce corps physiquement absent ou senti de l’intérieur.

Printemps by Sarah Jérôme

Touchning I mine graphite sur papier calque, mixed media on tracing paper, 170 x 152 cm, 2020 BD.jpg

Poétique et foisonnante, l’exposition Printemps au-delà de la simple notion de saison, promet « un renouveau ». Si la facture de Sarah Jérôme est reconnaissable, elle s’avère plus minutieuse, moins jetée. Le médium est au cœur de cette transition, puisque l’artiste s’exerce pour la première fois sur des grands formats à la mine graphite. En noir et blanc, dans ces imposantes œuvres sur papier calque, on retrouve son thème de prédilection : la danse, et notamment les chorégraphies de Pina Bausch. 
Extrait du texte de Alexia Lanta Maestrati 

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